La volonté de l’Inspection Académique de l’Aude de supprimer une classe à l'école communale de Bellegarde à la rentrée 2010 a déclenché des réactions aussi bien chez les parents d'élèves, que de la municipalité, mais aussi des habitants.
Mardi soir à 17 heures les parents d'élèves, le maire, des conseillers municipaux et des habitants du village ont exprimé leur désaccord devant l'école, malgré le froid glacial. Cette manifestation ayant pour but de réunir tous les défenseurs pour le maintien de cette classe, et ce, pour un enseignement de qualité et, pour se faire, les parents et les élus sont mobilisés comme ils l'ont déjà été dans le passé. Le maire et le premier adjoint avaient rendez-vous ce mercredi 10 mars avec l'inspecteur d'académie de l'Aude, M. Koch.
«L'Inspection Académique doit nous laisser aller au terme des projets en cours (création de logements pour les familles qui scolariseraient leurs enfants à l'école) et ceux que nous nous préparons à mettre en place (service gratuit de garderie et d'accueil repas). Il est certain que ces projets permettront l'augmentation des effectifs de l'école. Alors, pourquoi défaire aujourd'hui ce qu'il faudra refaire demain? » déclare le premier magistrat, Gilbert De Paoli.
La volonté de l’Inspection Académique de l’Aude de supprimer une classe à l'école communale de Bellegarde à la rentrée 2010 a déclenché des réactions aussi bien chez les parents d'élèves, que de la municipalité, mais aussi des habitants.
Mardi soir à 17 heures les parents d'élèves, le maire, des conseillers municipaux et des habitants du village ont exprimé leur désaccord devant l'école, malgré le froid glacial. Cette manifestation ayant pour but de réunir tous les défenseurs pour le maintien de cette classe, et ce, pour un enseignement de qualité et, pour se faire, les parents et les élus sont mobilisés comme ils l'ont déjà été dans le passé. Le maire et le premier adjoint avaient rendez-vous ce mercredi 10 mars avec l'inspecteur d'académie de l'Aude, M. Koch.
«L'Inspection Académique doit nous laisser aller au terme des projets en cours (création de logements pour les familles qui scolariseraient leurs enfants à l'école) et ceux que nous nous préparons à mettre en place (service gratuit de garderie et d'accueil repas). Il est certain que ces projets permettront l'augmentation des effectifs de l'école. Alors, pourquoi défaire aujourd'hui ce qu'il faudra refaire demain? » déclare le premier magistrat, Gilbert De Paoli.
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