Les fidèles du Razès du XV de France sont partis pour accompagner leurs idoles… dans l'un de leurs déplacements. Après Twickenham (Angleterre) en 2011 et Edimbourg (Écosse) en 2012 , en 2013, ils étaient trois Belvéziens : Philippe Labatut, Jean-Luc Chéca, Joël Sanchez, et leurs copains : Bernard Chapeau, d'Escueillens, et Pascal Redon, de Lauraguel, à s'envoler pour l'Irlande et se plonger dans l'ambiance de l'Aviva Stadium de Dublin.
Péripéties de ces compères : «Partis le vendredi depuis Toulouse, nous avons posé les pieds dans la capitale irlandaise en fin de soirée après une halte casse-croûte (foie gras, pâté, saucisson, fromage et vin rouge) à Bristol (il était obligatoire d'alléger les bagages de 5 kg avant de prendre le prochain avion)».
Une fois en terre celtique et les valises à l'hôtel, le groupe est parti à la découverte des pubs du quartier mythique et historique de Temple Bar. Après une courte nuit réparatrice et un solide «breakfast», les cinq copains ont visité le cœur de Dublin.ous leurs belles bacchantes, ils sont arrivés à l'Aviva Stadium en fin d'après-midi pour entonner la «Marseillaise». Si la rencontre n'a pas donné de vainqueur, nos cinq moustachus n'ont pas eu de peine à se plonger dans cette ambiance particulière et festive d'après-match en compagnie de supporters irlandais.
Les mésaventures de la Bande des Cinq : «Nous avons visité Dublin (Guinness, Jameson, etc.). De bons souvenirs comme toujours et la «caguade» de l'année à mettre cette fois-ci à l'actif de Joël Sanchez, responsable de l'organisation, qui nous raconte lors de notre rencontre avoir oublié les billets des vols retours dans un bus… mais restitués le lendemain par un gentleman irlandais qui les avait retrouvés. Ouf ! Billets bien calés dans les poches, nous avons pris le retour lundi matin mais voilà qu'une tempête de neige a retardé le premier vol Dublin-Bristol. Correspondance ratée à Bristol et nous avons été obligés de rallier Londres en bus pour obtenir un vol pour Toulouse mardi matin», termine l'équipe. Déboires et soucis, mais franche rigolade en fin de compte, qui engendreront comme toujours de bons souvenirs.
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